Ordre Suprème du Phénix
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 LE GRIMOIRE DES ANCIENS

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Chris
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MessageSujet: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 14:33

Salut à vous membres du clan, amis et alliés, nous allons dans ce livre relater toute la magie du clan des OSP. Au cours des histoires des plus illustres d'entre nous, vous allez découvrir les souffrances et les joies des anciens fondateurs de ce Clan unique.


TARA CERRIDWEN REINE DE LA NUIT ET DU VENT



Dans le but de mémoriser pour tous les origines du Clan, je vais vous narer l'histoire de Tara, fille du vent et de la nuit.

LE GRIMOIRE DES ANCIENS Meute01

L'histoire débute avec mes parents qui traversaient les cîmes froides avec l'armée des réfugiés de Rurik, après que les charrs et toutes sortes de monstres sortis de la bouche de l'enfer aient asservi la Tyrie.
Mon père était guerrier et ma mère guérisseuse, tous deux faisaient parti de l'ultime arrière garde qui protégeait les blessés graves et accompagnait les défuns à leur dernière demeure, un groupe de 10 combattants tous des vétérants.
Là commence l'histoire de Tara, un jour les charrs nous ont tendu une embuscade, j'avais 6 ans, mes parents m'ont caché dans une grotte noire et lugubre, sentant la mort et le sang, et ils sont retournés au combat.
De mon trou, j'ai entendu le gémissements et les cris des torturés, et les râles d'agonie des mourants, dans l'odeur, et la clarté satanique des brasiers charrs.
J'ai passé la nuit dans le froid et la haine, au petit matin le calme était revenu, j'ai pris le risque, torturé par la faim de sortir de mon antre avec milles précautions.
Les charrs avaient pris tout ce qui était métallique, les armes, les armures, les chariots. Dans des buissons j'ai retrouvé le baton de soins de ma mère et de la nourriture, un dernier cadeau avant son trépas.
Et du feu, ce feu qui m'avait térrorisé toute la nuit et qui maintenant m'apportait de la chaleur et du réconfort, j'ai pris de la glaise et j'ai récupéré, cette lumière précieuse pour explorer ma nouvelle maison, cette caverne malodorante, en effet j'étais seule en plein milieu des cîmes froides, et il me fallait survivre pour la vengeance.
J'ai transporté mon baton et les provisions, éclairé par cette faible lumière au fond de la caverne, un bruit suspect m'a mis en garde, dans la pénombre un vieux loup blessé se traînait, sentant de la nourriture (moi) à sa portée. J'ai frappé le sol et les rochers avec le baton, et il a fait un pas en arrière, mais il restait la en grognant en attendant que je relache mon attention, cela a duré deux interminables jours. Le troisième vaincu par la souffrance et la faiblesse il s'est endormi. Je me suis approché le baton à la main, le sang coulait encore d'une blessure au flanc, il y avait une dague rouillée plantée dedans.
Prise de pitié et de courage, ma mère étant guérisseuse j'ai essayé de me rappeler les prières d'invocation des Dieux, et j'ai retiré la dague de la plaie, le loup a sorti les dents, mais ma main qui tenait encore le baton s'est entourée d'une aura bleutée, la plaie s'est arrêté de saigner, et la douleur s'est calmé un peu, il a fermé sa gueule et s'est à nouveau assoupi rassuré, j'ai continué pendant deux jours à le soigner et à le nourrir avec le peu qu'il nous restait.
Le troisième jour il s'est relevé péniblement et m'a regardé avec ses yeux rouges de fatigue, puis il a léchè mes mains, j'avais un baton, un dague rouillée et un allié, la fortune en somme.
Nous sommes sortis tous deux la nuit au départ et on a chassé les rats et quelques lapins, et les petites bêtes de la forêt gelée. Cela a duré cinq ans.
Vers l'âge de 11 ou 12 ans, mon vieux loup était en pleine forme, nous sommes tombés nez à nez avec une meute de jeunes loups, 8 en tout, le jeune chef a voulu imposer sa loi, mais le patriarche était vieux mais fort et rusé, il a maté le jeune, et on s'est retrouvé avec une armée de loups vigoureux.
Le plus dur restait à faire, petit à petit ils ont accepté mon odeur et ma présence, et ensuite on a commencé à chasser le charr ensemble, moi posant des pièges et eux rabattant le gibier.
Mes premières armes lourdes et mes armures je les leur dois. Maintenant la caverne est remplie de toutes sortes d'armes, armures et objets récupérés lors de nos pillages et de nos raids.
Un jour on a trouvé un calice divin, et lorsque je le tenais je comprenais ce qu'ils se disaient, et eux semblaient comprendre mes paroles. Ils ont accepté mon autorité et la véritable guerre grâce à cet artefact à enfin commencée.
Ils on appris à ne plus craindre, ni les charrs, ni leurs feux maléfiques, et ils m'ont appris le combat de meute, eux ils immobilisaient la proie et moi je l'achevais. La chair de charr est dure et un peu acide, mais nourrissante, et tellement agréable à dépecer.
Nous avons décimé la nuit toutes les armées hostiles qui venaient près de la grotte, on a eu à manger en abondance et des veillées sanglantes autour du feu.
Parfois la meute rabattait la nuit quelques guerriers des cîmes froides qui amélioraient notre repas, du cheval un délice, mais on laissait toujours passer les humains, et on leur offrait notre protection silencieuse et invisible.
20 ans un autre vie commence, ou plutôt l'ancienne continue, aujourd'hui c'est censé être mon anniversaire, j'en ai parlé avec mes loups il y a quelques jours.
Ils m'ont réveillé à l'aurore et m'ont attiré en dehors de la caverne, des centaines de loups sont là tous serrés et la tête basse, pourtant des fiers combattants et même des vétérants couverts de blessures.
Ils sont là pour me proposer une alliance, je serais leur archimage et je les soignerais en échange ils promettent de ne plus attaquer d'humains sauf ceux qui leurs seront hostiles, j'ai accepté bien sur.
Sur deux cadavres de jeunes charrs qu'ils m'ont offert, j'ai récupéré deux armures et deux haches superbes, presques à ma taille. Je les porte encore aujourd'hui, ils m'on donné aussi un nom CERRIDWEN reine de la magie et de la nature, et le titre de reine des loups, sur un simple hurlement modulé tous viendront.
Un jour nous avons rencontré sur notre territoire un rodeur, j'ai appris après qu'il se nommait SHADEBOB, il a essayé vainement de maîtriser un de mes loups, je les avais mis en garde et formés pour éviter cela.
Nous l'avons invité dans notre grotte, et je l'ai suivi après mes adieux douloureux au CLAN DES LOUPS. un jeune loup a voulu me suivre et je l'ai pris comme familier et je l'ai appelé Fenrir.
De temps en temps quand je passe dans les cîmes froides, je lance l'appel à la mort, et les hordes me rejoignent, et alors malheur aux charrs qui se trouvent sur notre chemin, ou tout autre monstre hostile, c'est la nuit de la vengeance et de la haine, et on ne laisse aucun survivant.
Puis je rejoins après le COA qui lui aussi s'est augmenté de nombreux combattants.
Mon nom de baptème je ne l'ai jamais oublié mais je préfère arborer comme un auriflamme celui que ma donné la nation des loups.
TARA CERRIDWEN est mon nom de guerre et le restera donc pour tous, humains, loups et charrs maudits.

Récit relaté le 16/01/2006

Enfin après de nombreuses années passées ensemble à tuer et à accumuler de la haine, certains des notres ont perdus leur aspect humain et le sang des démons à fini par les polluer, ils ont voulu de la chair humaine pour leurs festins et ont voulu décimer notre Clan, j'ai donc rompu les pactes qui nous liaient et j'ai repris ma liberté laissant tout derrière moi pour aller trouver refuge dans les cimes froides parmi mes loups, puis des rescapés sont venus frapper à ma hutte et celle-ci est devenue trop petite pour nous protéger tous.

Nous avons retroussé nos manches, posé nos armes et pris des pelles pour reconstruire un fortin, puis une citadelle, et les fidèles de plus en plus nombreux sont arrivés, meurtris, brisés et déçus de cette haine, mais notre Moine les accompagnait, pour soigner leurs blessures physiques mais aussi les plus graves les blessures morales. Nous avons petit à petit fait de nouveaux adeptes pour renforcer le Clan, et fier de notre passé nous en avons gardé les principes d'honneur et de fidélité, et notre Phénix est venu à nouveau orner nos armories, il est toujours le symbole de la renaissance de notre communauté.

Et nous avons repris la lutte ensemble, en nous jurant que plus jamais personne ne viendrait porter atteinte à notre nouveau Clan et à notre liberté retrouvée, ni charrs, ni démons, ni demis démons ne viendraient plus jamais dicter leur loi et blesser nos membres par leur tyranie ou leur stupidité.

Voilà pour tous les propos recueillis par le scribe de la bouche même du nouveau Maître de l'Ordre Suprème du Phénix OSP, un Clan unique fier et indestructible.

Additif du 12 avril 2006

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Dernière édition par le Mer 13 Sep à 15:13, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 14:50

Jade Arcanocis, enfant chérie des trépassés

LE GRIMOIRE DES ANCIENS Jade01

Une nuit sans Lune, à l'heure où la plupart des vivants dorment paisiblement dans leurs lits sans la crainte de ce qu'il pourrait ce passer au tréfond de la forêt.
C'est là, dans un antique cimetière, où les noms gravés sur les pierres tombales ont été érodés par le temps et les intempéries, que mon histoire a commencée.
Ce lieu devait renfermer une puissante magie, mais une magie malsaine car aucun animal de la forêt même le plus téméraire des prédateurs n'osait s'en approcher.

Pourtant un ermite qui faisait office de garde chasse au village voisin s'introduit dans ce cimetière impie.
Personne ne connaissait comment s’appelait cet homme, tous le désignaient sous le nom de l'ermite ou du garde chasse, mais après les évênements de cette nuit là, chacun le nomma le fou car ce qu'il vit brisa son esprit et il me fut difficile de lui arracher son témoignage.

Mais je parvins à mes fins, vous apprendrez comment par la suite.
Voici la stricte vérité sur ceux qu’il vit cette nuit :

La forêt devait être perturbée ce soir là, à cause d'un évênement important et l’ermite s'attendait à quelque chose de terrible. Il fallait s'armer et aller dans le vieux cimetière pour débusquer la chose qui devait venir.
Les gens de village lui avait rit au nez quant il leur en avait parlé. C'était pour cela qu'il du s'y rendre seul avec son arc.
A l’approche de la clairière où ce situait ce cimetière, un calme étrange régnait comme si toute créature vivante c’était tue dans l’angoisse des horreurs qui devaient arriver.
Pendant de longues heures le garde chasse scruta l'obscurité du lieu pour dénicher la créature qu'il redoutait.
Brusquement les étoiles qui avaient brillaient au firmament jusque là s’éteignirent comme si elle ne voulaient pas êtres témoins des événements de ce soir.
L'obscurité était totale, puis une lueur d'un vert pale émana de chaque cercueil, de chaque mausolée et de chaque pierre tombale.

Les morts de ces tombes se levèrent et entamèrent une danse macabre où chacun des participants s’arrachait la tête pour la poser sur les épaules du zombie, de la goule ou du squelette voisin.
La cérémonie qui ressemblait fort à une fête dura une bonne partie de la nuit et cela sans qu'aucun son ne se fasse entendre si ce n'est les frottements des chairs putréfiées ou le craquement des os.
La chorégraphie se finit par une ronde autour d'un cercueil ouvragé.
Les morts se tenèrent un moment sans bouger toujours silencieux..
Puis les cadavres se rapprochèrent en cercle et ils se mirent à ouvrir ce cercueil qui était le seul encore scellé.
Le couvercle se brisa quant il percuta le sol et le bruit fut suivi d'un hurlement atroce.
Là au milieu des morts, baignés par une lumière irréelle, un bébé pleurait.
Il semblait bien portant, Sa peau était pale, ses yeux verts clair et les quelques bouclettes sur sa tête étaient blanches teintées d'argent.
Alors avec une infini douceur l'un des squelettes remua au dessus de la tête de l'enfant un crâne de souris qui faisait du bruit lorsqu’il l’agitait.
Les autres morts se placèrent de chaque coté du cercueil et se mirent à le pousser à tour de rôle pour le faire pivoter sur la gauche puis sur la droite.
Les balancements du cercueil semblaient calmer l'enfant et les morts le bercèrent jusqu’à ce que il ce soit endormi.
Le squelette qui utilisait le crâne de la souris en guise de hochet pris délicatement le bébé dans ses bras décharnés et l'enveloppa dans une couverture. Curieusement l'étoffe n'était pas abîmée loin de là, écarlate et richement brodée de fils d'argent, elle avait du appartenir à une noble famille.

Le mort mis quelque chose dans les langes de l'enfant, puis il se dirigea vers l'ermite toujours caché derrière un taillis.
Il n'avait pas osé bouger de peur d’attirer l'attention sur lui et se faire massacrer par les morts.
Mais les morts semblaient savoir qu'il se trouvait là depuis le début, pourtant ils ne l'avaient pas attaqués ils voulaient qu'il assiste à cela. Mais sa tâche n’était pas fini il se vi confier l'enfant afin qu'il le ramène chez les vivants.
L'ermite prit l'enfant et dès que le mort ne l’eut plus dans les bras le squelette tomba en poussière suivi très vite des autres cadavres si bien que le garde chasse se retrouva seul avec l'enfant endormi serré contre sa poitrine.
Au matin, l'homme retourna au village avec le bébé.

Bien sur on lui demanda de raconter d’où venait ce bébé mais ses propos n’avaient plus aucun sens et les rares fois où il reprenait l'esprit, personne ne le croyait.
Il faut rappeler qu'il y a de cela plus de vingt ans bien avant l'invasion charrs et ses terribles répercussions sur le monde.
C’était un âge béni des Dieux ; Ascalon était une citée grandiose qu'aucun mal ne semblait pouvoir ébranler et les habitants d'Orr étaient un peuple vivant et instruit et non les morts-vivants que nous connaissons.
Aussi comment aurait on pu croire que les morts pouvaient sortir de leur tombe, marcher et penser par eux-mêmes.

L'enfant fut confié aux moines de l’abbaye. Parce que les seuls objets qu’elle possédait était la couverture qui la drapait et un médaillon orné d'une pierre de jade, elle fut nommé Jade.
Et vous l’aurez compris cet enfant c'était moi.

Les moines m'avait recueillie, ils me donnèrent un lit où dormir, me nourrirent et m’inculquèrent leur croyance mais sans jamais réellement y parvenir.

J'était obsédée par la découverte de mes origines aussi je passais tous le temps que les moines me laissaient entre mes corvées et leurs sermons avec ce vieux fou d'ermite.
Il m’apprit tout ce qu'il savait et le métier de rôdeur fut pendant mes jeunes années la seule activité que je pratiquais.
Le viel ermite avait l'habitude de dire en parlant de moi "nasci arca nocis".
Ce qui signifie dans une langue ancienne "né dans un cercueil au court de la nuit"
Les enfants du village se moquaient de moi ils ne comprenaient pas pourquoi je restais avec ce fou ils ne cessaient de répéter "arca nocis" ; "arca nocis" sans comprendre ce que cela voulait dire, ils pensaient que cela me mettait en colère.
Mais leurs moqueries m’indifféraient, en fait j'étais plutôt fière que l’on m’appelle ainsi. A l’époque je ne savais pas pourquoi. Quoi qu’il en soit par défi je pris le nom qu'ils me donnaient : Jade Arcanocis

Toutes le temps que je passais avec le garde-chasse, je décortiquais chacune de ses paroles pour arriver à découvrir ce qu'il avait vu le soir de ma "naissance"
Mais un matin à cause de son grand âge, il mourut sans que je puisse atteindre mon but.
Aussi j’eus la folle idée d'invoquer son esprit.
Je pris un des livres interdits à la bibliothèque de l’abbaye.
Le soir même de la mort de l’ermite, alors que personne n’était au courant de son décés, je commençais le rituel qui devait ramener son esprit. Je reproduis méticuleusement les gestes décrits et lisais les mots magiques d'une voix claire et distincte.
L’expérience ne donna pas les résultat attendu car je ne réussis pas à invoquer son esprit mais son ... cadavre.
Le corps sans vie de l'ermite se mit à bouger et s’avança vers moi. J’éprouvais une telle joie d'avoir accompli ce prodige alors que je n'avais que treize ans, que je ne fus pas effrayé par ce mort qui aurai pu m'attaquer, l'idée même ne me traversa pas l'esprit.
Il s’arrêta à un pas devant moi, baissa la tête en signe de soumission et prononça ces paroles :
- "Je suis à tes ordres Maîtresse Jade".
C'est à ce moment là que bascula toute ma vie.
J’appris de la bouche du défunt ce que l'on m’avait caché jusque là ; le secret de mes origines, le secret de mes pouvoirs.
Un cercueil avait été mon berceau, le crâne d'une souris mon hochet, un mort fut ma nourrice et un cortège de morts-vivants célébrèrent ma venue.
Je compris alors combien mon pouvoir était grand et combien ceux qui riaient de moi étaient faibles. La nécromancie m'ouvrait les bras et j'avais beaucoup à apprendre.
Dès que j’en eu l’occasion je demandais à l’ermite de me mener au cimetière mais je n’y trouvais que des tombes vides et aucun élément intéressant sur la raisons de ma venue ou sur les morts qui devaient êtres mes ancêtres.
Je continuais à vivre à l’abbaye pour pouvoir emprunter les livres traitant de malédictions, de magie du sang ou de contrôle des morts, ainsi que tous les autres ouvrages de nécromancie qui m’étaient interdits mais que je consultais sans que les moines le remarquent.
Avec l'aide et les conseils du défunt ermite, je testais toutes sortes de choses sur les cadavres des animaux morts de la forêt.
Très vite j'épuisais les ressources de cette bibliothèque.
Il était temps de quitter l'abbaye.
Je libérais l'ermite du sort qui enfermait son esprit dans son corps et le confia aux Dieux Le cœur serré, je vis son corps se décomposer sous mes yeux ; il était la seule personne qui m'ait apportée un peu d'affection.
Et je partis sans me retourner, sans même donner d’explications à ces moines qui ne m'avaient jamais ni aimée ni respectée.
Une semaine après mon départ, les Charrs envahissaient le pays et détruisaient l'abbaye.

Je vécu en solitaire pendant quelques années ne faisant confiance en aucune créature et certainement pas aux êtres vivants.
Celà dura jusqu’à ma rencontre avec un guerrier qui sut me faire bonne impression et qui me réconcilia avec la nature humaine.
Ce guerrier avait pour nom Ragnarock Celeste.

Mais ceci est une autre histoire...

Récit relaté par Gni le 18/01/2006.

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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 14:56

LE GRIMOIRE DES ANCIENS Gw397xw2

Qui es-tu ? Parle-moi !





Je repensais à ce combat :




Le sang m’éclabousse.

"-Je suis né sans père et sans mère.

Je crache sur son corps déchiqueté.

Je fus recueilli pas les descendants d’un ancien peuple nomade des Cimes-Froides.

Je relève mon marteau.

Je fus élevé par des barbares, tuant pour survivre, tuant pour se défendre, tuant pour vivre. Mes mains tiennent un marteau depuis qu’elles ont vu le jour.


Pour l’abattre sur une autre gueule.

J’ai grandi parmi eux, j’ai passé mes nuits avec eux et j’ai combattu sous leurs ordres ; puis je les ai tués aussi. Pourquoi ? je n’en sais rien… J’ai aussi tué le roi, qui m’avait recueilli, je les ai tous exterminés femmes et enfants, guidé par mon instinct. Je recherche quelque chose, je le sais, je le sens. Maintenant je me considère comme roi à cette dynastie.

La sueur coule sur mon visage mélangée à ce sang chaud : je me sens bien.

Je me mis en marche, le soleil me guidant. Traversant plaines et montagne, rivières et torrents, bravant vent et brouillard, défiant la solitude et le froid.

Je prends alors mon sifflet en bois et en tire un son aigu.

Un soir traversant la forêt, à la recherche de nourriture, je fus guidé par mon odorat, ce devait être un fabuleux gibier. J’étais affamé. Je m’enfonçais alors plus profondément dans la forêt. Je finis par tomber sur ma proie, elle chassait des poissons, dans un cours d’eau ; et moi je la chassais. Elle était de l’autre coté de la rive, je saisis mon marteau. Je fonçais alors sur l’ ours noir qui releva sa tête et me regarda intensément, sans crainte. Alors que je m’apprêtais à la réduire en bouillie, je fus paralysé. Nos yeux se croisèrent longuement,. Je m’enfuis alors, la faim au ventre.

Je l’entends venir par ses hurlements.

Lorsque enfin je me réveillais, j’étais allongé sur un lit de bois couvert de fourrures, un feu crépitant me réchauffant les doigts de pieds. Je pris le temps de bien observer la pièce : j’étais dans une petite hutte en chêne décorée par divers objets la rendant très chaleureuse. Mon ventre qui criait famine.
Puis une femme magnifique dont je ne saurais donner un âge entra un plat chaud à la main. Cette femme dégageait quelque chose que je ne saurais décrire, c’est la première fois que je ressentais cette sensation. Nous ne discutâmes pas et déjà après le repas, je repartais mon marteau sur mon épaule et le ventre plein.



Je resserre les mains sur mon marteau et nettoie cette crasse sur mon visage ;ils se sont retirés un instant mais ils vont revenir, je le devine et je déploie donc un piège.

Pendant près deux semaines, je restais dans les alentours me nourrissant de malheureuses bêtes qui se montraient sur mon passage. Cependant je me sentais suivi. J’avais en permanence l’image de cette femme qui me tourmentait.

Le piège installé, je caresse la cuisse chaude de mon animal. Sa fourrure est douce, j’aime la caresser.

Quand je revenais, je l’apercevais dépecer une bête, j’étais éblouie par ses cheveux blonds qui flottaient sur ses épaules reflétant le soleil.
Pendant près de deux semaines merveilleuses, elle m’apprit tous les secrets de la nature. Je savais à présent chasser le gibier parfaitement, poser des pièges, combattre à l’arc et me soigner.
Je lui ai parlé de ce mystérieux ours que j’avais fui. Et nous décidâmes d’aller à sa recherche dans les bois gelés. Le soir venu après une journée laborieuse, nous fîmes un joli feu de camp. Puis avant d’aller me coucher, j’allais chercher du bois sec pour alimenter le feu, j’aperçus tout a coup une paire d’yeux brillant dans la pénombre d’un arbre prés du feu crépitant : c’était lui. Je posais délicatement le bois à coter de moi et allai chercher la viande et la rôdeuse. Elle me conseilla de suivre mon instinct. Je m’approcha calmement tout en étant accroupi prés de la bête, tenant un morceau de chair au bout de mon bras tendu. Je regardai fixement l’ours, dans les yeux, sans m’arrêter puis il sortit de sa cachette. Il renifla la viande avant de me la prendre pour la manger. Je me relevai et le regardai qui dévore son morceau. J’approchai alors ma main pour le caresser ; sa fourrure était très douce.

C’était un séjour formidable, je m’en rappelle encore. La rôdeuse, telle que je l’appelai, était une femme superbe qui fit naître en moi un sentiment nouveau. Mais je devais repartir, et découvrir le monde, accompagné de prés de mon familier.


Le son d’un cor se fit entendre, les charrs reviennent enfin à l’attaque.

Un jour pluvieux, j’avais rencontré sur ma route un groupe de combattants. Mon instinct de guerrier réagissant, je saisi mon marteau. Mon ours grogna. Ils me demandèrent de me présenter mais je n’en fis rien. Puis, après un court instant de silence, l’un d’entre eux me confia qu’ils étaient à la poursuite d’une horde de charrs féroces. Abaissant mes gardes, je lui demandai alors leur direction et leur vitesse. Apres m’avoir répondu, mon cœur eut a peine le temps de battre un foi que j’étais parti à la poursuite de ces charrs, hurlant, les yeux plein de haine ; conscient du retard que j’avais pris.

Une première ligne d’archets se fit découvrir suivi par d’autres charrs de toutes sortes, de véritable machines de guerre. Je les balaye de mon regard : un peu plus d’une cinquantaine de charrs se dressent devant nous, de la rigolade.

Trop tard ! La petite hutte cachée dans un vallon était en feu. Je m’en approchai à toute vitesse quand j’aperçue enfin la maîtresse rôdeuse allongée sur le dos, les bras allongés le long de son corps en sang. Je plaçais une main délicate derrière sa tête afin de la lui relever. Elle ouvrit les yeux et nous nous regardâmes longtemps. Je repensais alors à tout notre histoire, tous les moments passés ensemble, tout cet amour qu’elle avait fait naître ne moi .Soudain elle balbutia quelque chose ; j’approchais alors mon oreille près de sa bouche :
-« Ton…. nom,….ton nom..c’est…Blay.. Blaydator » dit elle dans un souffle d’agonie.
Puis elle cracha du sang. La tristesse m’envahit, accompagnée d’une haine immense. Un profond désespoir m’envahit alors je sombrais dans un gouffre béant dont je ne devinais pas même le fond : il semblait infini, et à mesure que je tombais, il m’avalait…Je pleurais silencieusement à côté d’une femme qui avait remplacé ma mère. Tout à coup je sentis une main sur mon épaule droite, une main qui me procura un grand réconfort…


NON !!! Ils vont le regretter, une flèche a traversé la cuisse de ma bête. Je sens à nouveau la fureur montée en moi, l’adrénaline accroît , je ne peux plus me contenir, j’ hurle de tout mon corps. Mes muscles gonfles, mon visage se contracte, mes yeux rougissent, mes plaies saignent abondamment : je vais les tous les massacrer.
Je ramasse mon marteau et cours tête baissée contre l’ennemie. Des étincelles bleues parcourent mon corps, mes plaies se referment. Un pluie de feu s’abat sur l’adversaire, des nuées de flèches enflammées frôlent ma tête pour transpercer de part en part corps et visages de charrs, des morts surgissent des cadavres déjà présent. Nous hurlons, tous unis, afin d’apaiser notre âme.



J’appartient à l’Ordre suprême du Phénix. Mon nom est Blaydator, Prince Blaydator…




Remerciements à Burator pour la rédaction.
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 14:58

LE MYTHE DE NICO THE WARRIOR




Je suis né dans le désert, en l'an de grâce 1052,lors d'une chaude journée de la saison du Phénix. Mon père était un guerrier forgeron et ma mère un guérisseuse.
Nous recevions souvent de la visite des membres de la famille.
Grâce a eux et a mes parents, je connaissais tout du savoir élémentaire, de la nécromancie, de la nature et de l'illusion.
Étant né robuste j'étais fait pour devenir guerrier: je reçus ma première épée à l'age de 6 ans, et ma première ankh aussi.
L'année d'après je maîtrisais parfaitement les enchaînements compliqués qu'avait mis au point pour moi toute la famille.
Quand j'eus atteint ma 10eme année, ma famille décida qu'il était temps de commencer mon voyage initiatique.

Pendant 2 années je découvris de superbes endroits et de merveilleuses créatures.
A 14 ans, au cours d'un de nos voyages a la Place Piken, je découvris un homme de haute stature dans son armure d'argent, qui me dit se nommer Ragnarok Celeste.
Nous discutâmes quelque peu et c'est ainsi que j'entrai dans le clan, des C.O.A, qui devint par la suite le O.S.P, clan réputé que tout le monde connaît.
Ma famille et moi repartîmes sur les routes jusqu'à... La Fournaise!
Nous arrivâmes en son cœur, où nous vîmes un spectacle qui nous horrifia:
Grognar, grand chef de guerre, et ses alliés Brohn et Gordac, avaient rassemblé une armée capable d’effacer toute trace de vie présente dans les Cimefroides Sud.
Grognar nous repéra et cria mystérieusement d’une voix gutturale
« L’ennemi que j’attends depuis de longues années…le voici enfin! »
Puis, se tournant vers ses troupes, il aboya:
« Tuez les tous »
Mes parents me crièrent alors de m’enfuir. Je ne voulais pas car je devinais la fin de cette histoire, mais mon père m’y força:
« Va mon fils », me dit-il, les yeux pleins de larmes.
Puis il se retourna et plongea dans la mêlée. M’ébrouant, je partis comme une flèche.
Au bout de 2 mois j’arrivais en vue de chez moi. Mais une surprise m’y attendait : un GIGANTESQUE Dragon noir m’attendait devant la porte. C’était le familier de Grognar…
S’engagea alors une lutte sans merci dont je sortis vainqueur grâce a l’enseignement de mes parents, bénis soient-ils. N’ayant pas les compétences nécessaires pour me fabriquer une armure avec la cuirasse du dragon noir je dus aller voir un vrai forgeron… Mais c’était très cher, plus que je ne pouvais payer. Je résolus alors d’attendre et de revenir quand j’aurai plus d’argent .
Prenant soudain conscience du fait que j’étais orphelin, je hurlais ma haine et ma douleur au désert qui resta silencieux, comme toujours.
Je jurais alors d’éradiquer les nains du Sommet de Pierre, en particulier leur chefs …
Ayant appris ,grâce au clan, que seule les armes de Grognar pouvaient le blesser je me suis remis en quête de sa sœur : l’Epée de Grognar, afin de le tuer.
Depuis ce jour je suis toujours en quête…



NICO L’ORPHELIN
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 14:59

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L’Histoire de Miss Buratore

Mon nom est Miss Buratore, je suis née il y a 20 ans de cela, alors que le monde était encore beau. J’avais alors des parents qui m’aimaient et un frère qui me fut enlevé, il y a environ 6ans par d’odieux brigands. Mais c’est une autre histoire, qui se mêlera à la mienne en temps voulu…

Mes parents me firent suivre des cours pour que je devienne Elémentaliste, à l’Académie d’Ascalon. Je poursuivis mes études durant plus de 10 ans. Une volonté de fer me poussait à être la meilleure partout pour pouvoir, par la suite, porter dignement les armes contre les agresseurs d’Ascalon qui n’étaient alors pas si fort qu’aujourd’hui.

A 13ans, je sortis de l’Académie avec mon diplôme d’Elémentaliste en main…J’étais très fière : j’étais la plus jeune Elémentaliste a être reçue si jeune !!! Pendant 1 an, je parcourus la région d’Ascalon, bravant milles dangers, pendant que mon frère, moins doué que moi pour les armes, développait avec la Nature un lien étroit.

Je menais cette vie aventureuse, quand un jour que je poursuivais des Charrs, mes parents me demandèrent en toute urgence. Je m’empressais de répondre à leur appel, et lorsque j’arrivais près d’eux je les trouvais effondrés, mon frère avait été enlevé par des brigands alors qu’il était parti chercher un chakram qu’il me destinait en secret pour mon anniversaire qui se faisait tout proche.

Une fureur sans borne m’envahit, et sans prendre le temps de faire mes adieux à mes parents, je partis, suivant la trace des brigands…Je les traquai sans relâche, mais plus d’une fois, je les manquai de peu… Je perdis tout à fait leur trace à l’orée de la Jungle Maaguma. J’appris lors de mes errances, que les bandits qui avaient enlevés mon frère, avaient la capacité d’influencer sur la mémoire de leurs victimes. Je jurais haut et fort que si jamais je leur mettais la main dessus… Ils le regretteraient ! !Mais il n’en fut rien ! Dépitée, je rentrais chez moi, à Ascalon.

Là-bas, je menais la vie dure aux charrs et autres monstres qui avaient envahis la zone. Ne revoyant qu’en de trop rares occasions ma famille. Il y a 4 ans, le drame se produisit…

C’était mon anniversaire, j’étais chez mes parents pour la 1ère fois depuis de nombreux moi, et je prenais du bon temps, chose qui m’était pratiquement inconnue alors. La fatigue me fit me relâcher, et je baissais mon attention, oubliant toute prudence !
L’ambiance était bonne, et tout allait à merveille : j’allais souffler mes bougies, quand soudain, le drame se produisit !!!!

Une pluie de flèches s’abattit sur nous, par purs réflexes, je me jetais sous la table, esquivant ainsi tout les traits mortels ! La pluie de flèche cessa, je sortis alors ma baguette et mon chakram de sous ma robe, et j’invoquais une boule de feu, puis je me montrais… La réaction ne se fit pas attendre, 2 énormes chaars foncèrent sur moi, toutes griffes dehors. La haine brillait dans leurs yeux, et une joie mauvaise semblait les animer. Je les reçus avec ma boule de feu... Je ne fis pas attention à leurs cris de détresse quand leur peau se mit à fondre, révélant par endroit leurs os brillants… Ils se roulèrent à terre pour éteindre le feu qui les consumait, mais celui était d’origine magique, et il ne s’éteindrait pas avant de les avoir réduits à néant. Très vite, j’invoquais une tempête de feu que je fis s’abattre à l’endroit d’où j’avais vu partir plusieurs flèches… Un cri de douleur me fit savoir que j’avais fait mouche !
Je vis un charr se redresser, et se faire écraser instantanément par un des météores enflammés. Je perçus une présence derrière moi, je me retournais et je vis un charr qui me tenait en joue, il ricana et…fut tué net par une flèche qui siffla à moins d’un mètre de mon oreille ! Ahurie, je vis plusieurs flèches abattre les démons survivants à une vitesse folle, sans que je puisse en déterminer la source.

Quand le combat fut terminé, je m’affaissai, comme une masse, accablé devant la fureur avec laquelle les charrs avaient réduits à néant tout ce qui m’était encore cher. Je me traînais vers les corps sans vie de mes parents. Je ne retins pas plus longtemps mes larmes et je laissais ma frustration s’exprimer sans honte. Je n’avais pas un regard pour mon sauveur. Chassant mes larmes, je me retournais et me dirigeais vers lui pour le remercier, quand je le vis, je crus être victime d’une hallucination. Je m’arrêtais alors et le dévisageais, puis je le reconnus : c’était mon frère disparu depuis de longues années !!! Je criai d’une voix que l’émotion étouffait « Toi » avant de me jeter dans ses bras et de pleurer sur sa poitrine…

Par la suite, je fus tout à fait sûr que l’homme était bien mon frère, le reconnaissant à la cicatrice qu’il avait sur sa joue et que lui avait faite un jour un animal sauvage. La joie de nos retrouvailles fut de courte durée, quand je lui appris que les charrs avaient tués nos parents, il ne pensa plus qu’a la vengeance…Il m’apprit également que s’il avait été là au bon moment, ce n’était pas le fruit du hasard mais qu’il remuait ciel et terre depuis un bon moment pour me retrouver. J’appris aussi qu’il avait perdu la mémoire, que je ne pouvais lui rendre que très partiellement, en effet, je ne l’avais que très peu fréquenté et n’était pas très au fait des coutumes et us familiales, trop occupée que j’étais à lutter contre les charrs ! Ses ravisseurs pouvaient s’estimer heureux que j’ai perdue leur trace…

Nous enterrâmes nos parents sans un pleur, puis nous quittâmes la maison familiale, bien décider à nous venger !!! Ce jour-là eut lieu un autre évènement funeste, le Grand Rempart Nord tomba…

Durant 2 ans nous recherchâmes et éradiquâmes systématiquement tous les démons de la région d’Ascalon qui dépérissait un peu plus chaque jour…Pendant 2 ans nous défendîmes le faible et l’opprimé. Et, un jour, alors que nous combattions avec le Prince Rurik , nous rencontrâmes Erika Celeste qui nous invita à venir grossir les rangs des COA, ce que nous acceptâmes avec une joie sauvage à la pensée d’avoir nombre de compagnons, qui haïssaient autant les charrs que moi !!!!

Mais, suite à de malheureux évènements, les COA furent dissous définitivement. Notre maître de guilde, et ami, Tara Cerridwen, secondé par Jade Arcanocis et l’Abbé Tise, tentèrent de sauver ce qui pouvait l’être. Ils firent appel tous les rescapés du cataclysme qui avait entraîné la destruction du COA, afin de fonder une nouvelle guilde, aux mêmes idéaux, mais s’appuyant sur des valeurs différentes : l’Ordre Suprême du Phénix. Ils nous proposèrent de devenir officier, ce que nous acceptâmes avec plaisir. Depuis, nous oeuvrons sans cesse pour que notre guilde devienne plus puissante. Récemment, avec la découverte des nouvelles terres de Cantha, nous nous sommes alliés à d’autres guilde, afin de devenir plus fort. Aujourd’hui l’OSP continue de se développer, mon frère et moi, nous nous sommes séparés à nouveau, afin de servir au mieux les intérêts de notre guilde. Mais je n’oublie pas….

Aujourd’hui, c’est mon 20e anniversaire, et que me reste t’il sinon la Vengeance ??
Tremblez démons et priiez pour que je ne vous dévoile pas ma véritable puissance…


MISS BURATORE
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 15:01

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LA SAGA DE BURATOR LE SAUVAGE

Vous qui me demandez mon nom, taisez vous donc et écoutez mon histoire…

Je ne sais plus quand je suis né, sachez que j’ai perdu la mémoire !!! Tout ce que je vais vous raconter c'est ma vie depuis ce qui sa passa cette nuit fatidique où la foi m’a sauvé …

Mon plus ancien souvenir remonte à il y a 6 ans, alors que je me réveillai, au plus profond de la jungle Maguuma... Une pluie fine tombait, toujours plus forte, et mouillait mes vêtements en peau de bêtes et en bois.
Je devais avoir environ 15 ans, mes cheveux blonds, retombaient alors en cascade sur mon visage et recouvraient mes épaules.
Je n’oublierai jamais la sensation de vide qui perçait mon crâne…La douleur était si intense que je me tenais la tête dans les mains, prostré seul sur les feuilles en décomposition humides de la jungle…Je versais pour la première et la dernière fois de chaudes larmes de PEUR qui se mêlaient à la pluie glaciale. C’était comme je l’ai déjà dit, la dernière fois que je pleurais… En effet je me jurais par la suite que jamais plus je ne cèderais à la peur comme un pleutre mais que, désormais, je l’affronterais toujours de front, la tête haute !!!

Trop occupé à me lamenter sur mon sort, je n’entendis pas un redoutable lynx qui avançait vers moi, furtivement avec une grâce comparable à celle de la plus belle des reines… Quand je le vis, il était à moins de 4 mètres de moi et me fixait de ses yeux jaunes…Il avait dans se yeux une lueur mauvaise et la faim se lisait dans son regard. Une faim qui devait être capable de le pousser à tout, aux plus odieux massacres, faisant ainsi de lui un prédateur redoutable.
Néanmoins, je pus également discerner un soupçon d’intelligence, au plus profond de son regard, là où les différentes couleurs de ses yeux se mélangeaient et brillaient de la plus pure des lumières. Cette intelligence semblait lui affirmer qu’il ne ferait qu’une bouchée de moi, alors le regardant, apeuré je baissais la tête, incapable de soutenir son regard…

Mes yeux butèrent alors sur une petite chose insignifiante : une statuette. Je l’examinais avec soin, subjugué par sa perfection : elle représentait une femme, avec à la place des jambes, un tronc énorme duquel partaient de magnifiques racines qui s’enfonçaient sous terre. Ses lignes avaient une pureté parfaite, c’était là l’œuvre d’un maître. Au pied de la statuette, il y avait un mot que je lus oubliant totalement le lynx et le danger dans lequel j’étais, le mot était : MELANDRU. Sitôt que j’eus lu ce mot, je crus qu’une ligne rouge sang parcourait la statuette à une vitesse folle et la faisait ainsi briller. J’attribuais ce phénomène à la fièvre qui me saisissait…Soudain, un grognement du lynx me ramena à la réalité, il s’était encore approché, et désormais je sentais son souffle sur mon visage…

Alors se produisit au plus profond de moi-même, par quelque action céleste sans doute, un formidable sursaut et je n’eus plus pleur !!! Plus jamais !!! La vue de la statue m’avait purifiée de cette sensation dont j’ai presque oublié le nom !!! Je relevais la tête d’un geste fier, dévoilant ainsi ma sur ma joue droite une étrange cicatrice en forme de patte. Puis, je me mis à fixer le lynx. Celui-ci feula et fit mine de vouloir me frapper, je m’écartais avec vivacité faisant preuve de réflexes foudroyants. Alors je saisis un bâton au pied d’un arbre et je me ruais sur le lynx, je vis celui-ci reculer et s’aplatir à mes pieds. Ainsi il reconnut MA supériorité, et il tourna les talons, sans un bruit, s’éclipsant dans l’ombre de la forêt…

Dès qu’il fut parti, je tombai à terre, stupéfait par ma propre audace, et je me mis à fixer la statuette… La lueur irréelle était partie...Avec respect je la saisis et je jurais dessus de toujours servir Melandru du mieux que je pourrais…Je décidais également de devenir fort, c’est pourquoi je me confectionnais un arc et je m’entrainais de la manière la plus dure afin de pouvoir prétendre au titre de MAITRE RODEUR !!!

Durant 3 ans je m’aguerris sans cesse, vouant un culte sans borne à Melandru. Je vivais des produits de ma chasse et de fruits que je cueillais sur les arbres. J’appris également le langage de nombres d’animaux, sans jamais en maltraiter un seul. Très vite, je devins un expert dans le maniement de l’arc et de divers pièges.

Petit à petit, je me fis connaître des habitants de la forêt et ma venue déplut particulièrement aux araignées que je chassais de la zone où je « résidais » désormais. Ces araignées finirent, après de rudes combats par me craindre et elles me nommèrent dans leur langage « BURATOR » c'est-à-dire LA MAIN DIVINE, en effet mes flèches ne rataient que très rarement leur cible.

Je vécus cette vie qui me plaisait, jusqu’au jour où j’appris qu’une jeune femme cherchait un homme d’environ mon âge, qui se serait fait enlever par des brigands dont elle aurait perdu la trace environ au moment où j’apparus dans la jungle. Cette jeune femme se prénommait Miss Buratore et elle affirmait que l’homme qu’elle cherchait était son frère… Elle était repartie pour Ascalon lorsqu’elle perdit la trace des brigands et de l’homme, la mort dans l’âme, mais il paraissait qu’on la réclamait de toute urgence… Le doute me pris, et si j’avais été cet homme ??? Alors, je me résolus à partir pour Ascalon pour chercher cette femme…

J’abandonnais ma jungle, après 3 ans de vie solitaire, où je m’étais certes endurci, mais j’avais perdu tout savoir-vivre et je demeurais très solitaire, c’est pourquoi les gens sur mon chemin me prénommèrent LE SAUVAGE…quand, enfin j’arrivais à Ascalon, je fus horrifié par la grandeur de la ville, comment retrouver la femme dans cette cohue ??? Je me mis aussitôt en quête. Il ne me fallut pas moins de 3 semaines pour retrouver sa trace.
Quand enfin j’appris où elle habitait, je crus défaillir, peut-être allais-je enfin retrouver mon passé et apprendre mon nom…

Quand j’arrivais à la maison qui était celle de ses parents où un paysan m’avait dit que je pourrais la trouver, la première chose que je vis, ce fut un groupe d’immondes bêtes qui m’étaient inconnues et qui s’acharnaient sur une jeune femme entourée de cadavre… La jeune femme invoqua une boule de feu qui fit fondre la chair d’une des bêtes et invoque sur deux autres, des boules de feu, elle s’en sortait à merveille. Cependant, un des monstres, parvint à la déborder et allait la frapper, alors, posément je sortis mon arc et j’abattis la bête. La jeune femme hoqueta de surprise, et elle se retourna, une autre bête, la dernière en profita pour la mettre en joue, elle n’eût pas le temps de tendre sa corde que déjà, elle tombait à terre dans un geyser de sang, foudroyée par une de mes flèches.

La jeune femme tomba et saisit les corps l’entourant en pleurant… Puis, essuyant ses larmes du revers de la main, elle se releva. Une flamme brillait dans son œil : elle voulait la vengeance !!! Alors seulement elle se rappela de ma présence et se retournant, voulant sans doute me remercier, quand elle me vit, elle s’arrêta et pila net. « Toi !!!! » cria-elle. Et elle courut se jeter dans mes bras…

Par la suite, j’appris que cette jeune femme, fort jolie du reste était ma sœur et que les deux corps étaient mes parents. Nous ne les pleurâmes pas longtemps, trop occupés à prévoir notre vengeance. Ce jour là, il y eut un autre évènement mémorable : le Grand Rempart Nord tomba !!!Dès que nous l’apprîmes, nous prîmes nos armes et partîmes ensemble, la main dans la main pour combattre les Charrs...

2 années entières, nous parcourûmes Ascalon et sa région, défendant sans cesse les villageois…Un jour, alors que nous nous battions au côté du Prince Rurik, nous rencontrâmes, Erika Celeste qui nous proposa de rejoindre les rangs de Chevaliers de l’Ordre Apocalyptique pour contrer la menace chaar, ce qui nous acceptâmes avec joie…

Nous me battîmes à leurs côtés de nombreux mois, jusqu’à ce que la germe de la désolation vinsse à éclore dans le cœur alors pur de certain de nos chefs. Les plus clairvoyants de d’entre eux s’en furent alors, appelant à eux ceux que la folie avait épargné ! Nous fûment de ceux-là.

Nous prîmes le parti de fonder un nouveau clan, basé sur les mêmes bases que le précédent, mais seulement avec ceux dont le cœur était encore pur. Nous nous engageâmes à fond dans le nouveau clan, l’Ordre Suprême du Phénix, luttant pour voir nos espoirs se concrétiser. Nos espoirs… Un rêve plutôt, qui semblait au commencement, d’une difficulté qui paraissait insurmontable. Cependant, n’écoutant que notre courage, nous nous engageâmes à fond dans l’édification de notre guilde. Aujourd’hui encore, nous luttons sans cesse pour voir notre rêve devenir réalité, et il est en passe de l’être, bien qu’il y ait toujours le moyen de faire mieux ! Récemment, j’ai quitté ma sœur, suite à la demande du conseil de l’OSP, dont je fais partie, nous demandant de participer au développement de la guilde.

Vous me demandez toujours mon nom ? Je suis BURATOR LE SAUVAGE, rodeur de profession et de cœur au service des OSP pour l’honneur de MELANDRU…


BURATOR LE SAUVAGE
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 15:02

La légende de kiara la sainte


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Je suis la fille de la mer de jade, trouvée il y a 17 ans jour pour jour aujourd’hui dans le cratère de Rhéa par un groupe de marchand luxons qui m’ont confié a Rhéa l’Ancienne en personne. Je m’appelle Kiara La Sainte, je suis Moniale/Envoûteuse et voici mon histoire….


Je me rappelle ce moment, oui il pleut, je crie, en attendant que mes parents viennent me chercher, mais au fond de moi je sais qu’ils ne viendront pas car je revois mon père dire à ma mère « cache le bébé, vite ! ». Mais maintenant c’est trop tard les Affligés envahissent le village mes parent sont fait prisonniers par ces horrible monstres, mon père a juste eu le temps de me cacher de leur griffes. Maintenant j’ai froid, j’ai faim, il pleut, je crie….

Je me réveilla au coté de Rhéa l’Ancienne, son doux visage penché sur moi en me disant « tout va bien tu est sauvée maintenant »…

Déjà un an a passé j’en ai maintenant deux et je commence a parler. Selon Rhéa je suis une de ces moniales génie comme il n’en naît pas deux par génération. Elle décida donc de m’initier au art saints et envoûtant dès mon 3eme anniversaire. Elle m’apprit a guérir les plaies les plus durement touchées et surtout elle m’appris a discerné le bien du mal.
Lorsque je soufflai mes cinq printemps, elle décida de m’envoyer au monastère de Shing Jéa
Où je pourrais étudier sérieusement la guérison. Je fis la connaissance de maître Togo qui me prit vite en affection. Si j’étudiais aussi bine et aussi vite c’était pour deux raison la première était la vengeance, je me devais de venger ma famille et mes amis tombés au combat et la seconde était simple je voulais devenir assez puissante pour pouvoir faire revenir mes parent…

A l’aube de mes 10ans, la jour de remise des certificats maître Togo est venu me voir et me disant qu’il avait quelqu’un a me présenter et la je vis celle que nous connaissons tous sous le nom de tara cerridwen et qui était venue me proposer de rejoindre le clan des OSP. J’accepté immédiatement. Je faisait désormais partie d’une guilde et me battait dorénavant pour la bannière bienfaisante du phénix. Je me suis mis en quête d’aventure le lendemain de ce certificat et me lançant dans le domaine du ministre Cho. On m’avait demandé d’enquêter sur le fléau qui se répandait….

J’en suis vite arrivé a la conclusion terrible que « Là où Shiro passe, les Affligés surgissent »
Je m’étais juré d’arrêter le fléau et faire revenir mes parents. Désormais je connaissais mon objectif vaincre l’usurpateur, vaincre Shiro…
Ce que je devais faire en priorité était simple : nettoyer Zen Daijun et d’ailleurs c’est la que j’ai connu pour la première fois la terreur….

Dans le domaine il y avait des monceaux de cadavre de toutes part et partout le mal régnait. Les affligé surgissait de partout et le miasme se répandait a une vitesse folle avec l’aide de mes compagnons de guildes nous avons nettoyer Zen Daijun et toutes les autres endroit ou le mal régnait….

Finalement nous arrivâmes enfin aux eaux endormies ou nous devions purifier Kuunavang. Pour cela nous devions nous allier kurzicks ce qui ne nous plaisait guère…
Apres un long combat sanglant et acharné nous parvenimes enfin a purifier Kuunavang par la douleur. Ce dernier nous indiqua ou trouver Shiro….
Nous nous y rendimnes, bien décidé a découdre. Ce jour ou nous avons combattus dans les appartements de l’empereur, j’ai vu bien plus de monstres que dans toute ma vie….
Nous avons combattus durant deux jours et deux nuits pour finalement voir la tête du Traître rouler devant nous.


2 Ans ont passé depuis que nous avons vaincu Shiro et l’air est redevenu pur mais mes parents ne sont pas revenus. J’ai cependant un espoir depuis peu car on dit que les Erudit de Kaineng aurait trouvé un nouveau continent ou mes parent se trouverais peut être …
Désormais les Osp regardent tous vers l’avant et vers le futur…..

NIGHT FALL NOUS VOILA !!!!! JE VAIS RETROUVER MES PARENTS !!!!
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 15:04

LE POEME DU GUERRIER HUGO LE HACHEUR

voici l'histoire de hugo le hacheur

né d'une mere guérriere et d'un père guérisseur

comme tous les paladins il était initié

à la guérison et aux arts guerriers

il a choisi les soins , la hache , et la tactique

et son clan et lui se préparait pour un combat épique

car il y avait la menace venue du nord

des guerriers bêtes qui partout donnaient la mort

l'assaut fut donné un soir

par une nuit qui fut des plus noires

les créatures attaquèrent et ce fut une tuerie

les gentils protégeaient le village mais à un tel prix

les armes tranchaient, fendaient, perçaient

et partout sur le champ de bataille les corps s'écroulaient

finalement hugo fut le dernier survivant pour

un face à face avec bonsaz brulefour

dans les ruines de l'endroit ou il a grandi

dans les ruines de l'académie de nolani

enfin il terrassa le maître charr

mais il y avait des cadavres de part en part

il ne put rester il partit pour les montagnes

ou il se mit à chercher une guilde avec hargne

et finalement il trouva dans une caverne remplie de loup

une guerriere nommé TARA CERRIDWEN qui m'invita parmi vous

parmi l'ORDRE SUPREME DU PHENIX


Dernière édition par le Ven 15 Sep à 13:45, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LE GRIMOIRE DES ANCIENS   LE GRIMOIRE DES ANCIENS EmptyMer 13 Sep à 15:08

Ainsi s'achève à ce jour l'histoire des Héros de ce Clan,

plus illustre que les histoires des pyramides gravées dans de la simple pierre, la notre est éternelle puisque gravée dans la mémoire de nos Dieux.



LE GRIMOIRE DES ANCIENS Cachetosp7zh

Notre sceau sacré vient immortaliser ici le nouveau pacte signé
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